Course à pied : quand le mental prend le relais

Course à pied : quand le mental prend le relais

Quand tu cours, il y a deux moteurs :
le corps et la tête.


🔁 Répartition classique : 50 / 50

Un jour normal, tu pars courir.
Tu es en forme.
Tu es concentré.

Le corps fonctionne.
La tête suit.

50 % physique. 50 % mental.
Tu avances. Tu ajustes. Tu gères.


🔻 Mauvais jour : 20 / 80

Et puis il y a les jours galère.
Tu es fatigué. Pas dans le bon rythme.
Ou pire : tu n’as pas pu t’entraîner.
Tu viens sous-entraîné. Tu le sais.

Ton corps ne tient pas le plan.
Tu n’as pas de réserve. Pas de jus.

Tu dois tenir avec la tête.

20 % physique. 80 % mental.

Et là, tu passes en mode survie.
Tu t’accroches. Tu bloques les doutes.
Tu avances, uniquement parce que tu refuses d’abandonner.

Si tu n’as pas construit ce mental-là,
tu n’iras pas au bout.


🔺 Et parfois, le jackpot : 80 / 20

Il y a aussi des jours magiques.
Préparation parfaite. Récup bien gérée.
Bonnes sensations dès les premiers mètres.

Tu déroules. Tu contrôles. Tu voles.

80 % physique. 20 % mental.

Tu n’as presque pas besoin de réfléchir.
Tu es dans le flot. Tu n’as qu’à suivre le corps.

C’est dans ces jours-là que tu fais tes plus belles perfs.


Ce que j’ai compris

Il faut entraîner les deux.
Car aucun scénario n’est garanti.

Tu peux venir prêt,
et devoir finir à la tête.
Tu peux venir cuit,
et découvrir une force que tu ne soupçonnais pas.


En course, rien n’est figé

Un jour 50 / 50.
Un autre 20 / 80.
Parfois 80 / 20.
Et parfois… 100 % mental.
Et tu avances parce que tu refuses d’arrêter.

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